Toi, mon bel ami,
Je murmure ta douce euphorie,
Qui jamais ne m’a laissé tomber dans le trépas,
Mon cœur emplit de ton savoir princier,
Ma foi, mon unique espoir,
De revoir cette lumière,
Repose sur tes bras de savoir,
Ta douce musique résonnant encore à mes oreilles, jouant ses si beaux aires,
Ce temps révolus où tu régnais en maître,
Mais les ténèbres de l’ignorance ce sont épaissit d’années en années,
Et le monde nous a oubliés,
Renier, mutilant nos êtres,
Voici vraiment ceux qu’on appelle les ignorants.