Le temps, insondable est-il,
Silencieux, mais pourtant bien présent,
Visible mais insaisissable,
Cruel mais juste.
Il calcule, il prend,
Et ce sont nos larmes, le sang.
Pourtant, il ne pourra prendre tout.
Car, à jamais dans nos cœurs,
Une partie de celui que nous aimons restera.
Il veillera, pour l’éternité, sur nous,
Sur chaque enfant, sur chaque ami.
Même si le temps, insondable est-il,
À tranché la flamme que nous croyions éternel,
C’est nous, qui avons gagné.
Car à jamais, il restera à nos côtés.